Verre de collection Duvel créé par Morrison Schiffmacher

La Néerlandaise Morrison Schiffmacher figure désormais sur la liste des talentueux artistes et créateurs qui se sont vus confier la réalisation d’un verre pour la légendaire Duvel Collection. Depuis 2007 déjà, Duvel invite des artistes à exprimer leur créativité sur ce verre à la forme particulière. Deux artistes néerlandais ont précédé Morrison : Parra en 2010 et Letman en 2012.

Duvel et Morrison : une parfaite adéquation. L’héritage des deux artisans, le brassage de la bière et l’art du tatouage, repose sur l’authenticité et le respect des traditions. Leurs métiers respectifs résistent ainsi à l’épreuve du temps. Un concept que l’on retrouve dans la création de Morrison. En suivant son style bien à elle, Morrison s’est inspirée de l’ange qui accompagne le démon sur l’étiquette d’une bouteille de Duvel sur 1000.

Morrison Schiffmacher immortalise le verre Duvel

À travers cette Duvel Collection emblématique, la brasserie a voulu offrir un podium aux artistes qui sont en parfaite adéquation avec la marque. Le choix s’est rapidement porté sur Morrison. Toute comme la Duvel, Morrison concilie passion, bon goût, savoir-faire et perfection. Détail amusant : toutes deux sont une entreprise familiale. Morrison a suivi les traces de son père, Henk Schiffmacher. Bébé déjà, elle s’asseyait sur ses genoux pendant qu’il tatouait. La Duvel a vu le jour en 1871 et c’est aujourd’hui la 4e génération de la famille Moortgat qui veille sur cette bière belge.

« Le verre Duvel est tellement caractéristique et emblématique que je me suis sentie très honorée quand on m’a demandé d’en créer un », nous confie Morrison. « Je suis fan de tout ce qui a trait à la Belgique : les artistes flamands, Anvers... Je me suis instantanément plongée dans l’histoire de la Duvel et de son verre et le concept de l’ange et du démon sur l’étiquette m’a d’emblée fascinée. J’aime ce genre de contradictions. J’ai tout de suite songé à un marin ou matelot, un solide gaillard affichant un tatouage tendre et savourant un verre de bière au bistrot en bavardant. Ma création ne montre pas le contraste, mais bien l’interaction entre le bien et le mal, la communion entre l’ange et le démon. Une métaphore de la vie, qui vaut donc aussi pour une soirée au bistrot. »